L’urbanisation du Mont-aux-Malades : grands ensembles ou ville nouvelle ?

Jeudi 28 février, de 18h à 20h, à la maison de l’université, Loïc Vadelorge décrypte les phases de l’urbanisation de Mont-Saint-Aignan (entrée libre et gratuite).

 

L’urbanisation du plateau du Mont-aux-Malades dans les années 1960-1980 représente la rupture majeure de l’histoire de Mont-Saint-Aignan qui passe entre 1946 et 1975 de 6 000 à 20 000 habitants. Comment et pourquoi cette urbanisation accélérée s’est-elle produite ?
Répondre à cette question nécessite de revenir sur les grandes options de l’aménagement de l’agglomération rouennaise depuis la Seconde guerre mondiale et d’analyser la manière dont elles se sont traduites à l’échelle de la commune.
Ni ZUP, ni ville nouvelle, Mont-Saint-Aignan oscille entre un modèle tardif de grand ensemble, la tentation de devenir une ville universitaire et la préfiguration du modèle péri-urbain qui caractérisera le développement des plateaux nord de Rouen dans les années 1990-2000.

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